Parents & Spiritualité

 

Enseignez ce que vous voudriez apprendre


Au printemps, David Hoffmeister a été invité à donner un week-end séminaire sur le thème “Etre Parents et Spiritualité” dans une ferme familiale de la campagne suédoise. Quelques 15 personnes étaient rassemblées sous la véranda ainsi que quelques enfants. Beaucoup de sujets ont été abordés et beaucoup de réponses données. Beaucoup de questions furent posées par les enfants aussi bien que par les parents. Cet article exposera les réponses à ces questions et donnera quelques directives qui sont des outils utiles à l’éducation des enfants et un outil pour la vie. Cet article ressemble a la forme d’une transcription étant donné que David cite très souvent littéralement.

Lorsque les choses semblent venir à nous dans ce monde, y compris les enfants, elles ne font que nous apporter une expérience que nous avons demandée dans une forme que nous croyons possible. Alors, l’Esprit doit utiliser notre système de croyances et il nous apporte les choses qui semblent satisfaire notre prière. Certains appellent ça la manifestation. Mais la chose la plus importante est la prière du coeur. Plus vous allez profondément dans la spiritualité, plus vous voyez que vous ne pouvez demander qu’une expérience. Et vous voyez que la forme ne vous apporte jamais l’expérience. L’émotion vient toujours de votre propre conscience. Quand vous devenez plus sage, votre demande change. La demande d’un adolescent peut sembler différente de celle d’un maître sage. L’adolescent peut demander une voiture ou un petit ami ou une petite amie. Et le maître sage peut dire : je veux la paix d’esprit. Donc notre demande change au cours de notre vie, jusqu’à ce que nous voyons complètement qu’elle est la prière la plus profonde de notre coeur : connaître notre véritable identité.

Nous devons lâcher les anciennes idées sur l’enseignement et l’apprentissage étant donné que nous enseignons et apprenons avec chacun. Nous enseignons réellement avec nos pensées et ce que nous enseignons toujours est quelque chose à propos de notre identité. La seule leçon que nous avons besoin d’apprendre sur la terre est la leçon de la parfaite égalité indépendante de la taille du corps. Réellement, cette seule leçon est une expérience d’unité (état d’être Un). Les parents ont un problème d’autorité parce qu’ils croient qu’ils ont créé les enfants et par conséquent qu’ils ont autorité sur eux. Lorsqu’un enfant d’environ 2 ans dit des choses telles que “mon/ma” ou “je ferai çà à ma façon”, c’est une opportunité clé pour entendre l’appel à l’amour et un appel à reconnaître l’égalité, que personne n’est un patron sur quelqu’un d’autre.

Il est certain que les nouveaux-nés et les enfants très jeunes semblent avoir besoin de beaucoup d’attention, mais c’est juste une occasion de laisser l’intuition passer à travers nous d’une façon qui soit la plus appropriée. C’est comme si les parents s’occupaient de l’enfant, mais c’est encore une occasion de voir la parfaite égalité. C’est vraiment ce dont il s’agit dans la relation de “soumission” mère-enfant. Ce n’est pas vraiment une “soumission” entre le corps. Jésus nous enseigne que les esprits sont joints et les corps non. C’est plus comme une “soumission” télépathique dans laquelle on se détend simplement et on ressent la connectivité. C’est une occasion de se détendre et d’apprécier chaque instant. C’est un sentiment de connexion, la mère ne juge pas le bébé, ne pense pas au futur ou au passé, ne pense même pas à un nom, elle est juste dans une expérience de connexion. Ressentir cette connexion c’est le but de tout notre entraînement de l’esprit en lâchant tous nos jugements.

Chacun est un miroir des pensées dans la conscience. Donc l’enfant est un miroir pour le parent et le parent est un miroir pour l’enfant. Et c’est la raison pour laquelle nous ne pouvons jamais blâmer nos parents pour la façon dont nous nous sentons, parce que nos parents et notre environnement reflètent les pensées que nous gardons dans notre conscience. Ce que vous voyez provient de ce que vous pensez. Donc les parents ne sont jamais à blâmer et les enfants ne sont jamais à blâmer. Il n’y a jamais une bonne raison ou une raison justifiée pour pointer un doigt vers un parent ou un enfant et dire “c’est ta faute”, parce que ce n’est jamais la faute d’aucun corps. C’est toujours la conscience qui regarde un monde et qui pense les pensées, et le monde reflète toujours les pensées. C’est tiré de la Bible et comme nous sommes maintenant dans une ferme, je le redis : “Comme tu sèmes, tu récoltes”. C’est une autre façon de dire “tout ce que tu donnes c’est tout ce que tu reçois”. C’est toujours une parfaite équation. C’est pourquoi je dis : faites attention à ce que vous demandez en prière, parce que vous recevez toujours ce pour quoi vous priez. Vous pouvez être sûrs que vous recevez ce que vous pensez. Il n’y a aucune exception à ça.

Donc, lorsqu’un parent dit “j’ai des problèmes avec mon enfant”, ceci pourrait être réinterpreté comme “j’ai des problèmes dans ma conscience”. Vous pourriez même dire : mon enfant reflète mes problèmes dans ma conscience ou mon enfant reflète mes prjections. Bien sûr ceci est valable dans l’autre sens aussi. Lorsqu’un enfant a un problème, l’enfant peut dire j’ai un problème dans ma conscience.
La race humaine évolue en direction de l’éveil. Chaque nouvelle génération d’enfants qui naît, de plus en plus, réflète la lumière divine de l’amour. De temps en temps, on les appelle les Enfants Cristal et ils ne font que refléter des états de plus en plus élevés de conscience. Donc c’est un réel bienfait pour toute la planète. L’ami de David, Jimmy Twyman, fait des conférences à ce sujet. Il est allé au Japon et il a rencontré un petit garçon qui pouvait plier des cuillers avec son esprit. Et les enfants sont connus pour avoir beaucoup de capacités psychiques qui sont très naturelles pour l’esprit développé. Ces capacités sont rapportées de leur développement spirituel précédent. Donc il est important d’être ouvert d’esprit, ce qui est ce que vous êtes lorsque vous avez lâché l’apprentissage passé.

Nous avons tous des idées sur les familles, idées qui proviennent de mémoires de notre propre famille et de la façon dont nous avons été élevés. Beaucoup de ces mémoires sont très inconscientes. Parfois les parents veulent élever leurs enfants différemment qu’eux ont été élevés par leurs parents mais sont choqués lorsqu’ils s’entendent dire les mêmes mots que leurs parents leur ont dit. Etant donné que le passé se répète encore et encore, nous devons briser les modèles du passé. Récemment Eckart Tollé a écrit le livre “Une nouvelle Terre” et on peut dire qu’on travaille à une nouvelle famille, une nouvelle façon de concevoir le familles.

Nous devons lâcher le contrôle au Saint Esprit. Les êtres humains ne peuvent pas être partiellement en contrôle, de la même façon que vous ne pouvez pas être partiellement enceinte. Quand vous commencez à voir la valeur de l’offrande des choses au Saint-Esprit, vous pouvez commencez à inclure les gens autour de vous dans ce processus. Lorsque vous êtes guidés à le faire, vous pouvez vous asseoir avec votre enfant dans certaines situations. Par exemple, si l’enfant est triste pour une raison quelconque, vous pouvez demander au Saint-Esprit de vous aider ensemble avec l’enfant. D’aider l’enfant à changer d’esprit à propos de la situation. Réellement, si vous changez votre esprit, le monde change avec lui. Donc un autre chemin est juste de démontrer çà. Nous pouvons apprendre aux enfants ce que nous apprendrions, étant donné qu’ils font partie de notre entraînement et que nous faisons partie de leur entraînement.

Les 4 principales questions qui furent choisies par l’organisateur du séminaire étaient :

  • Comment parler de spiritualité à nos enfants
  • Comment parler à nos enfants des choses difficiles de la vie ?
  • Comment aider nos enfants à développer des individualités sûres, heureuses et responsables
  • Quels sont les besoins spirituels des enfants ?

Nous allons maintenant donner les réponses à ces questions ainsi qu’à quelques questions qui en découlent :

La première question (Comment parler de spiritualité à nos enfants ?) aboutit aux 3 directives de l’Esprit suivantes :

• La première directive : ne parlez pas de quelque chose qui a trait à la spiritualité que vous n’ayez expérimenté vous-mêmes. Cela n’enseignerait que la spéculation. Si vous n’avez pas une expérience de Dieu très directe, claire et profonde, pourquoi essayeriez-vous de l’expliquer à vos enfants ? Ca ne fera qu’amener à plus de questions et vous pourriez passer pour un charlatan étant donné que vos réponses ne seraient pas authentiques. C’est une chose profonde que d’être en prière, dans l’expérience de la guidance de l’Esprit avec ce que vous dites et faites.

• La deuxième directive : Vous devez dire ce que vous essayez de transmettre en des termes très simples parce que si c’est trop compliqué, les enfants n’auront tout simplement plus d’intérêt. “Voulez dire” ce que vous dites et dites ce que vous voulez dire. Lorsque vous parlez aux enfants de spiritualité, ils veulent que ce soit pratique, ils ne sont pas vraiment intéressés par des théories sur Dieu. Prenons un exemple : Avez- vous peur de laisser votre enfant nager dans un lac dans les bois sans surveillance et sans gilet de sauvetage ? Pourquoi, si vous enseignez que vous ne croyez pas aux corps, ni à la mort, ni à la vulnérabilité ? Ils veulent parler de choses qui se apportent à leur expérience pratique. Donc il est important d’utiliser beaucoup d’exemples. Un bon enseignant utilise beaucoup d’exemples parce qu’il est clair sur le sujet.

• La troisième directive : Adressez-vous aux centres d’intérêt de l’enfant. Si l’enfant n’exprime jamais aucun intérêt ni de curiosité au sujet de la spiritualité et de Dieu, alors c’est un signe à prendre en considération. Ce n’est pas comme enseigner les maths ou la science. L’enfant doit être prêt. Et si l’enfant est curieux, alors c’est une occasion pour vous d’exprimer votre propre curiosité dans ces domaines. Dans beaucoup de cas, il n’y a pas d’invitation à explorer ces domaines. Donc en parlant aux enfants de ce qui les intéresse, vous montrez aux enfants votre attention. Ce n’est pas dans les mots que vous dites, c’est dans votre attitude et dans votre état d’esprit que vous exprimez. C’est là que l’enseignement entre. C’est pourquoi Jésus a enseigné au sujet des “attitudes d’être” dans la Bible. C’est un enseignement sur la façon d’être, un état d’être. Nous n’avons pas à corriger nos frères et soeurs, il vaut mieux attendre qu’ils viennent et demandent de l’aide avec leurs “issues” ?. Donc on ne devrait jamais essayer de corriger nos enfants dans leurs idées et vues sur al spiritualité. Chaque situation est une occasion de devenir clairs pour nous-mêmes.

Comment parler à nos enfants des choses difficiles de la vie ?

Il est bon de parler de la croyance. Même autour des sujets comme la mort et le meurtre, il y a différentes croyances. Pour un athée et pour une personne religieuse, le point de vue sur la mort peut être très différent. Dites à vos enfants qu’il n’y a pas deux personnes qui voient le même monde. A un enfant qui est intéressé, vous pouvez dire que chaque personne qui vient sur terre agit selon un système de croyances. Elles organisent leur vie selon ce système de croyances. Si vos enfants vous posent une question sur un conflit, comme la guerre, ou un conflit parmi leurs amis, vous pouvez leur dire qu’il y a tellement de croyances et que ces croyances sont en conflit par définition. S’isl demandent ensuite “pourquoi ?”, ce peut être une occasion de parler d’erreur ou d’ego, parce que l’enfant va continuer à demander “pourquoi ?”. Alors dites lui qu’aussi longtemps que nous croirons à l’ego, il y aura des conflits. Nous savons que pas deux personnes voient le même monde, mais il y a un amour et une unité (l’état d’être un) qui est au-delà de la croyance. La seule croyance utile qui existe est la pardon. Le pardon a différents noms dans différentes cultures. C’est aussi un bon sujet de discussion pour les parents, parce qu’ils vont et enseigner et apprendre ce sujet pour les années à venir. Ils vont avoir beaucoup beaucoup d’occasions de pardonner. Si l’enfant est curieux, enseignez le pardon ! Parlez lui du pardon. Mais la chose la plus importante est toujours de faire la démonstration d’un état d’esprit.

Parlons nous de deux ou de beaucoup de systèmes de croyances ?

Au début, il sera mieux perçu et plus pratique de parler de beaucoup de systèmes de croyances, parce que l’enfant voit beaucoup de personnes. Et chaque personne semble agir selon un système de croyances différent. Mais plus vous interagissez, plus la confiance et la curiosité se construisent. Les enfants pourraient vous regarder et dire “tu peux simplifier ?” Alors vous pouvez leur dire qu’il semble qu’il y ait beaucoup de systèmes de croyances, mais en réalité il n’y en a que deux. L’u vous apporte l’espoir, la liberté, la paix, l’amour et la joie, et l’autre vous apporte la jalousie, la blesssure, la culpabilité, la peur et la colère. S’ils vous demandent “ pourquoi quelqu’un croirait-il en la douleur et en la peur ?”, vous pouvez les regarder et dire : “je travaille sur la même question ! C’est pourquoi je suis là”.

Comment aider nos enfants à développer des individualités sûres, heureuses et responsables ?

Quand vous venez à l’extension par la sécurité vraie, le bonheur vrai et la responsabilité vraie, à cette extension vous pouvez étendre le cadeau que cette expérience est. Parce qu’on ne peut réellement rien faire à quelqu’un d’autre qu’on ait pas expérimenté. Nos peurs deviennent reflétées comme étant leurs peurs, et notre culpabilité devient reflétée comme étant leur culpabilité. Donc, c’est toujours un travail intérieur. Même lorsque vous êtes tentés d’être désolés et concernés à leur sujet, il vaut toujours mieut prendre du recul et voir “OK, je suis celui qui se sent désolé et concerné, c’est quelque chose qui doit être lâché dans mon esprit”.

Est ce que ce n’est pas comme si les enfants faisaient comme nous faisons et non pas comme nous disons ?

Votre relation à votre enfant ressemble tout à fait à la relation de Jésus à vous. Jésus est le même que chacun d’entre nous ; il est comme un aîné et un frère plus sage (bien que nous puissions parfois débattre sur qui du parent ou de l’enfant est le plus sage). Mais Jésus dirait : pense comme moi, ne fait pas comme moi. Il ne vous demande pas de mettre une longue robe, marcher alentour et être crucifié. Il ne dit pas “fait comme moi”, il dit “pense comme moi et fait comme tu veux”. Cela veut dire que les actions et les émotions découlent de la pensée et que l’importance est toujours sur la pensée, et non sur l’action. Appliquez cela à votre relation à vos enfants. Si vous vous sentez vraiment en paix, joyeux et confiants, vous pouvez dire à l’enfant : “pense comme moi et fait ce que tu veux”. Et si vous êtes réellement heureux, il y a des chances pour qu’ils veuillent vous suivre. Et si vous êtes conflictuels, ils ne voudront pas vous suivre. Ils chercheront la guidance aileurs.

Avoir des enfants peut être une grande occasion de pratiquer l’intuition, parce que vous ne pouvez pas surveiller l’enfant constamment. Vous devez être intuitifs et confiants. La priorité est toujours d’être en paix, et un moyen de l’être est de lâcher la croyance que vous pouvez contrôler le comportement. Vous ne pouvez jamais contrôler le monde de la forme et le comportement de l’enfant en fait partie. Donc le parent n’a jamais de contrôle direct sur le comportement de l’enfant.C’est en réalité impossible. Vous pouvez contrôler la direction de vos pensées, c’est la seule chose sur laquelle vous ayez un contrôle. Dans Un Cours en Miracles, Jésus dit “Il se peut que vous croyez vous êtes responsables de ce que vous faites, mais pas de ce que vous pensez, mais vous êtes responsables de ce que vous pensez et ce que vous faites découle de ce que vous pensez”. Donc, au lieu d’essayer de contrôler le comportement, qui est un effet, revenez simplement à l’esprit ou à la conscience qui est la cause, et opérez un changement dans votre pensée. Ca ne semble pas être facile. Beaucop de gens essaient de changer le comportement, ils essayent d’arrêter de fumer, contrôlent leur poids, ne boivent pas trop d’alcool, etc. Ils ont beaucoup de difficulté à essayer de modifier leur comportement, mais ressentent qu’ils auraient encore plsu de difficulté à essayer de modifier leurs pensées. Le seul changement durable vient du changement des pensées. Si vous essayez de contrôler le comportement, mais que vous êtes toujours agacés dans votre esprit, vous avez toujours une division dans votre conscience. Si vous essayez d’agir bien alors que vous êtes en colère en dessous, votre esprit est divisé. Tout doit être dans un alignement total. Croyances, émotions, pensées et perceptions doivent être en alignement pour avoir la paix d’esprit. Donc avec les enfants, ça demande beaucoup de pratique. Les parents disent que leur propre comportement est très important en raison de la croyance qu’on apprend à partir du comportement. L’idée d’être un bon modèle de rôle. Mais les enfants n’apprennent pas vraiment du comportement, tout vient des pensées. Donc c’est pourquoi vous n’avez pas à essayer d’agir bien parce que l’enfant peut souvent voir au-delà de l’acte et savoir si l’acte est faux, et c’est un bon rappel qu’il faut toujours être authentique. Si vous dites à vos enfants de ne pas se battre et que vous vous battez vous-mêmes avec votre mari ou votre épouse, vous devez changer votre pensée. Vous devez démontrer un état de paix.

Quels sont les besoins spirituels des enfants ?

Le seul besoin que quiconque ait est de savoir vraiment qui nous sommes. Les Grecs anciens disaient “Connais-toi toi-même”. Mais vous devez d’abord rencontrer les plus bas besoins, comme la faim, la soif ou le besoin de chaleur. Vous devez rencontrer les besoins physiques apparents avant de pouvoir aller vers les besoins plus profonds de l’âme. Mère Thérésa savait ça très bien. C’est pourquoi elle sortait les gens de la rue pour les aider. Elle n’allait pas seulement dans les rues parler de Dieu aux enfants ; elle les reccueillait et s’occupait d’eux. Donc pour elle et pour ses soeurs, c’était vraiment un acte de service. Elle voyait chacun comme Jésus. C’était un exemple de “ comme tu traites le dernier parmi vous, comme cela tu me traiteras”.

Plus vous devenez clairs, plus vous devenez intuitifs quant à ce qu’est le vrai besoin. Souvent les enfants exprimeront des besoins de l’ego, sous formes de jouets ou de bonbons par exemple ; en voulant juste de plus en plus. C’est là que vous voyez que vous devez être plus intuitifs. Vous ne voulez pas entrer dans des confrontations. Au lieu de cà, vous l aissez venir une expérience d’amour qui est pour vous deux. C’est le miracle. Il bénit chacun avec équité. Parfois les parents essayent de traiter tous leurs enfants de la même façon. Ils essayent de donner aux enfants la même quantité de nourriture ou de boisson ou de glace. Mais il est impossible d’aboutir à l’équité dans la forme. Il faut plutôt se focaliser sur vouloir être aimant équitablement et ouvert équitablement avec chacun. Donc le contenu de l’amour est important, et non la forme de son expression. C’est toujours uen question d’honnêteté avec soi-même.

Avec votre enfant, vous pouvez saisir chaque occasion d’enseigner l’amour, d’enseigner ce que vous voudriez apprendre. Ca marche dans toutes les situations. Si vous avez peur de laisser votre enfant se sentir libre et se déplacer parmi des gens inconnus par exemple, vosu pouvez saisir l’occasion d’enseigner à l’enfant sur la croyance en la solitude ou l’intimité dans ce monde ou sur l’idée des pensées d’attaque. Oui, enseignez simplement ce que vous voudriez apprendre ! Un outil très utile est ausii de commencer à voir toute chose come étant juste de l’amour ou un appel à l’amour. Alors vous commencez à répondre à l’appel à l’amour partout où vous le voyez. Ce peut être votre enfant qui vient dans votre chambre pendant la nuit effrayé après un cauchemar, ou un enfant frappant un autre enfant. La chose tentante est de faire de la psychologie ou de la psychothérapie et dans beaucoup d’autres domaines est de penser que les choses sont “le problème des autres” – ce que le client est en train de traverser, etc… Alors c’est mis simplement “là dehors” et ce n’est pas vu comme étant simplement un appel à l’amour dans votre esprit, et c’est parce que c’est ce que la perception de l’erreur est. Hooponopono est une méthode hawaïenne de pardon qui a aidé beaucoup de gens. En des termes simples, vous l’utilisez comme ça : Chaque fois que vous voyez une réaction ou un jugement dans votre esprit, à quoi que ce soit, offrez le sentiment à l’Esprit et dites à propos de la situation : “Je t’aime, je te pardonne, je te remercie, je suis désolé(e)”.

Et en conclusion quelques mots sages :

Parfois il se peut que vous pensiez que vous êtes personnellement responsables de l’enfant, si l’enfant se perd par exemple. Mais finalement, l’idée d’être personnellement responsables de quoi que ce soit, doit disparaître. Aucun corps ne peut réellement être responsable de quelque corps que ce soit.

Et :

Ne sensurez pas les émotions. Vous permettre simplement de ressentir ce que vous ressentez est une étape utile dans la direction de l’éveil.

Amour & Bénédictions,

David Hoffmeister